CARNET DE ROUTE

 

          
vous êtes prêts , ça va envoyer !!!l                      

  

Sierra de Guara (Aragon) et Bardenas (Navarre)

 

Du 11 avril au 17 avril 2004  

AVEC


Jean Louis  -Le vieux sage
Michel-le bleu de Gex
Marc- LE GOUROU

Jean François - Le Guetteur

Corinne - La cartom ancienne

Christian -Tatanou - Le Factotum de Savoie

Sandrine - la femme savante 

Carole - Lara Croft -Tomb Raider - La rider qui tombe- L'amuse

Pomme - La conteuse

Philippe - le Chef

Christian - Tatou -le cuisto

 DIMANCHE 11 avril

  Le rendez-vous est fixé en 2 points pour le départ des 2 véhicules. Voilà, le groupe des 9 est parti. Jean-François et Corinne partent de Limoges et nous rejoindront directement à Alquezar.

Le passage du tunnel de Bielsa se fait sous la neige mais Philippe nous promet le beau temps de l'autre côté. Quelques kilomètres plus loin, c'est effectivement le cas, il fait très beau.

Nous arrivons à Alquezar vers 20h, le soleil couchant sur la citadelle est magnifique. Il y a un monde fou, c'est le dimanche de Pâques. Nous arrivons à garer les véhicules et la remorque pas trop loin de la Fonda Narbona, l'auberge où nous passerons la nuit. Les vélos de Corinne et JF sont déjà devant l'auberge. On s'installe et on va faire un tour dans le village qui a été restauré avec goût, ruelles, places, façades,…  

Personne n'a vu JF et Corinne mais nous décidons de passer à table.

A ce moment, voilà JF qui revient. Depuis 2h, il était enfermé dans la citadelle qui fermait à 19h. Il a du joué à Fort Boyard en poussant les 4 portes en bois. Mais la dernière grille lui a résisté et il a du appeler des gens pour trouver le gardien qui avait les clefs ! Il a eu tout le loisir d'observer notre arrivée dans le village, du haut de son poste de guet !... Pendant ce temps là, Corinne dormait sereinement à l'auberge et récupérait de sa journée de vélo. Ils avaient posé la voiture à Sarsa de Surta et  avaient rejoint Alquezar en vélo. Comme ça, demain soir, on aura une voiture pour la navette. Repas agréable à l'auberge avec toute l'équipe enfin rassemblée.  

         
Alquezar                                        La citadelle


Lundi 12 avril


Grand beau temps 

Lever à 8h (sauf pour Philippe et Jean-Louis qui arpentent le village endormi depuis 7h). Après le petit déj, ballade dans le village pour faire quelques courses. On démarre du bas du village par les ruelles pentues. Corinne et JF doivent nous rejoindre en haut du village, au parking des cars.

 

         
          église d'Alquezar                    

On prend la piste de San Pelegrin . Toujours pas de Corinne et JF en vue. Ils ont dû foncer! A moins qu'ils ne soient derrière ?? Les randonneurs que l'on croise n'ont pas vu de cyclistes, les voitures qui viennent du bas non plus. On finit par en déduire qu'ils n'ont pas pris le même chemin que nous. On verra bien plus tard ! Et dire qu'on a fait 1000 kms pour les voir et qu'ils se sauvent  toute une journée pour ne pas nous voir !.. Sympa !..

         
San Peregrin

 Le chemin monte bien, il fait bon, on s'élève vite au-dessus d'Alquezar et des canyons. L'arrivée vers la meson del Sevil est magnifique mais ventée et on décide donc de manger plus loin, à l'abri des arbres. On trouve un endroit à l'abri vers un puits de neige. On a quand même à manger un peu, bien que Corinne et JF aient gardé une bonne partie de la nourriture. Le temps se couvre, la sieste est reportée à un autre jour. Il se met même à neiger.

         
 

Les montées ne sont pas tout à fait finies mais ensuite montées, descentes et passages sous les falaises se succèdent. On voit ensuite le village de Sarsa de Surta au fond dans la vallée, il y a une belle descente. Philippe a loupé l'embranchement pour faire le "chemin trialisant" indiqué par Charles Pujos. Christian a coupé son pneu contre un caillou. Les filles continuent tout droit la piste jusqu'au village, les gars essaient de retrouver le fameux petit chemin. Arrivée à Sarsa de Surta à 15h15 pour les filles. Corinne et JF arrivent ½ h après. Ils avaient  pris le GR1 au départ et rejoint la piste plus haut après pas mal de portages. Les voitures qu'ils avaient croisées leur avaient signalé un groupe de vélos avec des vieux en tête et des filles après !... JF et Corinne ne se sont presque pas arrêtés pour manger, voulant nous rattraper à tout prix.

Les gars arrivent vers 17h . Finalement, le chemin de Charles n'était pas si facile à trouver. La descente était intéressante mais légèrement cassante.

 

         
Vue sur les pyrénées

Le gîte "La Joya" est vraiment agréable : vieille maison restaurée avec goût, petites chambres confortables avec couettes moelleuses. Maison "écologique" avec des toilettes biologiques : il faut jeter sa petite poignée de paille dans les toilettes pour "nourrir" les bactéries. Bières, cocas ou thé en attendant la navette de voitures.

Le repas est pantagruélique (salade, soupe, saucisses, pâtes, purée, haricots verts, fruits, arrosé de vin du coin) , même Marc n'a pas pu finir les plats. Marion et Antonio sont très sympas et la discussion va bon train, en français, en allemand, en espagnol.

 

25 à 30 kms (selon les versions, chemin trialisant ou non…)

 

         
                                                                            La joya     

MARDI 13 avril

– Beau temps frais 

Philippe a préparé le petit déj et à 7h30, tout le monde se retrouve autour de la table. On devait partir vers 8h-8h30 mais il faut réparer encore 2 crevaisons. Pendant ce temps, séance photos devant le gîte. Le temps est magnifique mais le fond de l'air est frais (1°C). Montée jusqu'à Las Bellostas puis descente  jusqu'au pont sur le Balcès. Chemin agréable en montées-descentes jusqu'à Letosa, village abandonné où l'on fait une petite pause. Nous rejoignons le Barronco de Raisin pour une petite marche apéritive jusqu'au pied du Saltador de las Lanas dans le Mascun. 

 

         
Bagueste                                                              Las Belostas

  Les passages sur les vires sont assez aériens mais splendides. Les vautours planent au-dessus de nous, l'eau est turquoise. Et nous arrivons à la cascade qui est le point de départ du canyon. La pause pique-nique, au pied de la falaise, au soleil, s'impose. 

         
Mascun 

Après avoir retrouvé nos vélos, nous rejoignons  Otin qui est maintenant complètement abandonné. Le bar de Manolo où nous avions fait une pause en 93 est fermé. Le panneau indique population : 1 habitant, mais il se cache bien.


                                                                        Otin

  Pour rejoindre Nasarre, on suit d'abord la piste puis le GR qui devient vite impraticable à vélo (pierreux, étroit et piquant). Marc célèbre l'office dans l'église restaurée et  fait la cloche. C'est ici que les 3 chauffeurs nous quittent pour rejoindre les voitures par la piste directe. Ils profitent pour rouler un peu et font le retour jusqu'à la Joya en moins d'1h30.

  

         

Messe                                                                          Dans l'eglise de Nasarre

Nous continuons par le GR qui descend sur Bara. Il faut pousser les vélos car il y a trop de cailloux et de buissons. Finalement, on est donc à pied aussi bien à la montée qu'à la descente. Arrivés à Bara, on cherche le pont que l'on trouve en haut du village : le pont est peu engageant : il tient avec un étai dessous et est couvert de tôle. Les brebis vont à la traite. Petite pause goûter au bord de l'eau puis on suit une bonne piste carrossable pour Nocito. Après une chaîne cassée, quelques montées et du vent dans le nez, on arrive au pied du sanctuaire de San Urbez.

La dernière montée n'est pas très longue et le site est superbe. Une grande église avec un peuplier devant, la tombe du saint homme et le gîte superbement restauré. Geneviève nous accueille chaleureusement et nous installe dans les différentes chambres. Energie solaire et bois, réserve d'eau, la maison est énergétiquement autonome, avec douches chaudes, 220 volts, salon avec musique douce et canapé, baie vitrée ouvrant sur le Tozal de Guara enneigé…. Un cadre magnifique.

Quand les véhicules arrivent, la douche est la bienvenue. Puis super repas avec soupe de blettes et bœuf mode, suivis des chocolats et de la mirabelle de Philippe.

 

         
Nocito et le Tozal de Guara                               San Urbez

MERCREDI 14 avril

 Après une nuit réparatrice et agréable, le petit déj est prêt dans la salle du bas. 3 chauffeurs volontaires  se chargent des véhicules rendez vous à midi au Salto de Roldan  et les 8 autres partent sur la piste. Belle descente jusqu'à l'embranchement de la piste de Nocito puis remontée sur la piste de Belsue. Le beau temps est revenu. Petit col pour séchauffer puis  descente  superbe dans des gorges étroites, l'eau transparente, des falaises en forme d'épine de dinosaure.

       
                                                                  Lusera

  En bas, Le paysage s'ouvre sur la zone cultivée de Belsue et le lac. On traverse  un petit pont et on suit ensuite un joli petit chemin le long du lac. L'eau est turquoise et la montagne se reflète dedans comme dans un miroir. C'est magnifique. On arrive ensuite au barrage que l'on traverse. Un joli chemin passe au pied de la falaise de Zienfuen pour rejoindre le second barrage. La piste a été creusée dans la roche, et de nombreux  tunnels agrémentent la ballade . On joue au petit train jusqu'au barrage du dessous. Philippe filme en travelling avec la caméra embarquée. Les vautours planent au-dessus de nous.

         
Belsue et monte Aguila                                  Tchouf Tchouf!!

Une bonne côte nous attend. Ca secoue bien sur les pierres et ça grimpe dur pour rejoindre le refuge. La piste continue plus facile mais toujours caillouteuses, ça patine un peu. Vue magnifique sur le Salto de Roldan où nous serons à midi. Malheureusement, peu de soleil et même quelques gouttes de pluie-neige.

Arrivés au parking, les 3 chauffeurs ne sont pas encore arrivés. Un raide coup de fil nous informe qu'ils sont encore à la caisse du magasin à Huesca. On commence donc à manger, les vautours tournoient autour de nous. Le mirador où nous sommes nous permet de voir arriver le camion vert de Corinne. Nous  montons par les échelles jusqu'au sommet du Pic San Miguel en s'imaginant vautour planant au-dessus du Salto de Rodan. Vue impressionnante sur la plaine de Huesca depuis cette forteresse naturelle.

 

    
                                                                                                 
Salto De Roldan

Descendre est plus facile que monter mais la vue est plus belle en haut

Nous remontons jusqu'au col, puis par une belle descente sur une piste toute renovée nous atteignons l'ermitage de Nostra Senora de Ordas. La piste devient ensuite une "single track" trialisante . Un essai d'itinéraire nous emmène jusqu'au bord d'une falaise. Demi-tour pour reprendre le bon chemin qui plonge sur Arguis et la route nationale. Il commence à tomber quelques gouttes et les pierres sont un peu glissantes. Les garçons s'amusent bien avec quelques soleils et figures libres. Les filles choisissent plutôt l'option "porté de vélo".

 En bas, on suit la route nationale sur 1 km jusqu'au barrage d'Arguis. Carole coince un fil de pêche dans son dérailleur et se retrouve coincée, finalement le pécheur ne voulant pas de ce poisson, après quelques coup de couteau elle peut repartir. Le groupe vélo continue par la piste. Les véhicules prennent la route de Bentué de Rasal pour se rejoindre vers le col de Barza pour trouver un coin pour passer la nuit.

Le coin camping n'est pas mal, terrain plat et eau courante de source. Montage rapide des tentes alors que Marc est appelé sur son portable par une patiente qui l'a attendu toute la journée !... Il pleut, JL installe l'auvent du camping-car pour pouvoir s'abriter. Christian se met à la corvée de bois et prépare un bon feu de camp. Tatou se met à la cuisine ; la soupe et les pâtes à la carbonara  sont appréciées à leur juste valeur. La pluie ne s'arrête pas, on alterne passage sous l'auvent à l'abri et passage devant le feu pour se réchauffer mais en se mouillant !...Finalement la pluie cesse et nous laisse profiter de la veillée autour du feu ou le GualouP2 nous rejoint sous son cocotier BLANC!! pour déguster la poire.

45 kms

           
coin camping
                        plus tu descends la veille, moins tu montes le lendemain

 

                         Jeudi  15 avril  

Le beau temps est revenu, il n'a pratiquement pas plu de la nuit. On réactive le feu pour se réchauffer et on prépare un bon petit déjeuner (avec pain grillé sur la braise…..Carole se demande encore comment on a fait pour brancher  grille-pain !...)

         
Le cycliste gourmet préférera toujours un petit plat à une grosse côte.
(enfin marc aurait quand même préféré un gros plat)

 Les filles font sécher les tentes et vont poser les voitures à Murillo del Gallego. Puis, elles rejoignent le château de Loarre en voiture. En vélo, la piste  de Loarre par la sierra de los Caballeros débute par une bonne côte qui permet à chacun de se chauffer. Nous dominons d'abord le lac d'Arguis puis nous basculons versant sud ou l'horizon s'ouvre sur la plaine de Huesca. Au refuge d'Apaul une nuée de vautours nous accueille. Nous quittons la piste pour un superbe sentier où Jean Louis peut faire admirer sa technique.

         

 

Le château sur le piton domine la vallée. De la terrasse, on voit arriver les vélos, Corinne en tête (elle avait dû prendre de l'avance, c'est son habitude). Les garçons ont passé leur temps à se filmer et à se photographier dans les descentes trialisantes. Pique-nique dans la pinède puis café au bar du château. Un groupe de VTTistes français est également arrivé. Ils ont fait les Bardenas et arrivent maintenant en Sierra de Guara.

         
Chateau de Loarre

          
Tout le monde reprend le vélo pour une petite montée et un chemin à plat très agréable jusqu'au château de Marcuello (encore une maison avec vue imprenable à retaper pour JF) puis le mirador des aigles. Vue imprenable sur les Mallos de Riglos, les nids de vautours dans les falaises d'en face et les grimpeurs dans les parois de 300 m : impressionnant. L'arrivée des 4X4 hollandais nous chasse. Descente sur un sympathique chemin pierreux entre les mallos de Riglos. Après quelques chutes (notamment un soleil de Corinne) et le passage délicat d'une pelle mécanique, nous arrivons au village de Riglos.

         
Jolie figure de Marc                                       Los Mallos de Riglos

Les grimpeurs sont toujours dans leurs falaises. Il faut rejoindre le village qui se trouve de l'autre côté de la rivière : Murrillo del Gallego, où les voitures nous attendent. A vol d'oiseau, c'est tout prêt, juste la rivière à traverser, mais nous ne sommes pas vautour….et où est le pont ?? Suivre le GR ?? Le paysan perché dans son arbre, interviewé par Philippe dit que ça ne passe pas. Tout le monde remonte mais le moral baisse !... 2 options : remonter au village et tenter le pont amont (avec le risque de ne pas le trouver). Descendre la piste jusqu'au pont aval (plus sûr mais plus long). 2 groupes se forment et finalement, la bonne option était le pont aval en prenant la route de Riglos. On a largement perdu 2h. Le temps presse, on a encore 100 kms à faire en voiture pour le rejoindre le gîte des Bardenas qui nous attend. Ca speede un peu ! Navette de voiture pour aller chercher la voiture qui est au château de Loarre. JL part rapidement, comme il ne peut plus passer la 5ème sur son camping-car, il va mettre un peu plus longtemps. Il faut qu'il prenne de l'avance.

Les 100 kms sont avalés rapidement et nous arrivons au gîte de Murillo del Fruto (Tchapi Txuri) vers 21h30. Douche appréciée de tous après cette longue journée. On se met à table vers 22h, juste à l'heure espagnole. La table est réputée (Charles nous l'a recommandée) et effectivement, la réputation n'est pas usurpée : le repas est à la fois original et succulent.

         
infranchissable rio Galligo                                       Los Mallos de Riglos

Vendredi 16 avril   


Le temps est vraiment gris et il commence à pleuvoir. Nous partons quand même pour le départ des Bardenas. Ca roule ! Mais au bout de quelques kilomètres, Sandrine part à fond dans les descentes et s'éclate en glissant dans la boue. Ca devient une vraie patinoire, aussi bien à vélo qu'à pied. Ca nous rappelle méchamment la Turquie et les kilos de boue sur les vélos. On fait finalement demi-tour en portant les vélos ou en roulant dans l'herbe pour éviter que ça colle…. On lave consciencieusement les vélos dans la flaque d'eau près des voitures. Sandrine glisse élégamment dans l'eau boueuse en allant laver son vélo. Il pleut toujours et on est trempés. Direction le gîte où on apprécie les douches chaudes et les vêtements secs. On part donc en voiture pour Pindoro où on nous a parlé d'une auberge. C'est finalement un bar très bruyant avec télé et joueurs de cartes. En revanche, la patronne est efficace et le repas est servi en moins de deux.

On repart en voiture sous la pluie après avoir fait nos adieux à Corinne et JF qui repartent dès maintenant à Limoges. Nous allons faire le tour du polygone militaire et voir un peu plus de près les sites remarquables des Bardenas. Mais les pristes sont toutes fermées et on se borne à approcher le Castil de Tierra. Même à pied, on s'en met plein les chaussures.

Retour à l'hotel et fin d'après-midi repos, cartes postales.

Le repas est toujours aussi bon et original (soupe de haricots blancs et seiches dans leur encre)

         


Samedi 17 avril 

Le temps est incertain, quelques trouées mais de gros nuages noirs. En tous cas, il ne pleut plus. Après un copieux petit déjeuner, on part en voiture jusqu'au parking du Rallon. Quelques gouttes tombent mais le temps a l'air de se maintenir. Montée dans les petits chemins jusqu'au sommet du Rallon. Vue superbe sur les canyons, cheminées de fée, champs verts et roches rouges. Vols majestueux des vautours juste à notre niveau.

 

         
Bardenas reales

En bas du Rallon, photo du groupe à vélo devant la Piskerra. Descentes mythique du Pasos de Los Ciervos en toboggan dans les canyons : ça l'fait. On reprend la piste carrossable pour repartir faire le tour de  la Piskerra et refaire un tour de toboggan et single track…..  


         
Paso de los Ciervos

Retour à fond sur la piste jusqu'aux voitures car si la faim est le meilleur cuisinier, l'appétit est le meilleur carburant. Il est quand même 3h1/2, on a faim. Après un super pique-nique au soleil des Bardenas (+ un bon café) les 3 mordus de la pédale repartent pour la Gorra. Les autres rangent les véhicules et dépannent un groupe de motos en panne (chaîne cassée). Leur randonnée dans les chemins aura tourné court. On rattrape ensuite les 3 vélos. Christian et Michel continuent à fond sur la piste et même jusqu'au gîte sur la route. Philippe, qui n'a pas envie de bouffer de la piste, rentre en voiture.


         

Ce soir, au gîte, c'est le repas du samedi soir, avec des spécialités et une cuisine encore meilleure (dixit le patron). On est impatient de voir et de manger ça. Les autres repas étaient déjà "estupendo". Final avec digestif et calendrier-cadeau.

 

          
La piskera

Dimanche 18 avril – Pluie

 

Le départ est prévu très tôt, surtout pour les passagers du camping-car qui ne passe pas la 5ème. On a quand même environ 1000 kms à faire dans la journée et demain, il y a école….

Il fait vraiment un temps de chien, donc pas de regrets de partir. Heureusement qu'on a eu une belle journée hier pour découvrir les Bardenas. Seuls Corinne et JF doivent regretter d'avoir dû partir un jour plus tôt.


         
Au Revoir

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